Escouade documentaire

Sandra Tomaylla

Passionnée de cinéma et de photographie, Sandra Tomaylla est une artiste autodidacte qui évolue à la frontière entre l'imaginaire et la réalité. À travers des images soigneusement travaillées, elle offre au spectateur une réalité altérée qui reflète sa manière fantasque de vivre et voir le monde. Son intérêt pour la réalisation l'a conduite à participer aux processus de production et de postproduction de clips musicaux, marquant ainsi le début de sa carrière en tant que réalisatrice. Elle a un intérêt marqué pour le documentaire.

Mariane Béliveau

Après ses études en sociologie, Mariane se tourne vers la réalisation documentaire afin d’exprimer sa volonté de transformation radicale du politique au moyen du sensible. Ses films abordent généralement des questions de marginalisation et de représentation sociale sous un angle hyper intimiste.  En 2018, elle réalise son premier court-métrage étudiant Je la chante dans ma douche, habituellement pour ensuite s’autoproduire au sein des Films de l’Autre, où elle réalise ses premières œuvres professionnelles : C’est dangereux la mort, ça pourrait faire mal (2022) et Comme entendre à travers une feuille de métal (2024).

Basile Crépin-Leblond

Récemment installé à Québec, Basile a travaillé quelques années en France comme directeur photo et électricien, principalement sur des projets de fictions et clips musicaux. Sa passion et sa curiosité insatiables pour la technique le suivent depuis l’enfance dans de nombreux domaines, et le cinéma s’est imposé à lui naturellement. Il adore autant bricoler dans des configurations très réduites qu’évoluer avec des équipes plus importantes, tant qu’il y a des images à faire et des gens avec qui les faire.

Le projet

Formation et immersion collaborative

Chaque membre de l’équipe – un réalisateur·rice, un·e preneur·euse de son et un·e directeur·rice de la photographie – a bénéficié d’un mentorat intensif de cinq heures. Cette formation collaborative a permis aux participants de comprendre leurs rôles respectifs tout en développant une synergie essentielle au travail d’équipe. Après cette phase initiale, l’escouade a passé quatre demi-journées en immersion au Centre Demi-Lune pour observer et interagir avec les intervenants et usagers. Cette expérience leur a permis de choisir l’angle narratif de leur documentaire avant d’entamer la phase de tournage.

Soutien matériel et post production

Spira a fourni tout le matériel nécessaire au tournage ainsi qu’une salle dédiée à la post-production. Les mentors ont également épaulé l’équipe lors des étapes finales du projet. En plus du soutien logistique, Spira a offert un cachet aux participants et pris en charge les frais liés à la post-production.